L’abus d’alcool est dangereux pour la table de nuit


« Essayez d’enlever un pantalon quand vous avez trop bu, ce n’est pas facile. »



bastareaudDans la série la phrase la plus cocasse, la déclaration de Max Guazzini pendant la conférence de presse de Mathieu Bastareaud qui présentait ses excuses à propos de l’affaire ayant quelque peu remué le monde du rugby en juin dernier et suite à laquelle le joueur parisien avait déclaré avoir heurté sa table de nuit après une troisième mi-temps beaucoup trop arrosée.

Le président du Stade Français apporte donc un peu plus de précision salutaire sur cette histoire. Et merci bien.

Et puis c’est tout…


L’affaire Bastareaud sur LPLPC


Kékidi ? – 03

La difficulté de l’Équipe de France,
c’est peut-être sa naïveté et le fait qu’elle ait dit la vérité.
Mais comme personne ne veut croire la vérité de ce qu’elle sait, donc on ne la croit pas.
Les temps changeants, on est surpris de notre naïveté et certainement, je peux le dire, d’une maladresse dans une communication complète* que certains n’ont pas senti de crise.
Mais je le reconnais, je le reconnais entièrement.

camouDans la série la phrase la plus con, et la plus confuse, la sortie magnifique de Pierre Camou, président de la Fédération Française de Rugby, suite à l’audition de Matthieu Bastareaud dans l’affaire de la fausse agression du joueur en Nouvelle-Zélande en juin dernier (voir ici ou encore et même re-là pour un rappel complet).

Alors là, il faut le dire, c’est de la déclaration de très haut niveau.

Et puis c’est tout…

Et en presque live, ça donne ça :


*Cette phrase pleine de sens donne l’occasion de lancer le deuxième épisode du Jeu Concours LPLPC :

1 point bonus pour la personne qui parviendra à déterminer le ou les mots qui sont sortis de la bouche du héraut du jour entre les termes « communication » et « que certains n’ont pas senti de crise« . Il n’est en effet pas certain que le mot utilisé soit ‘complète‘.

Pour les réponses, le choix est simple : par mail ou en commentaire de ce post.

(pour l’épisode 1, c’est ici)